Au cœur d’une cité où l’histoire se mêle à la modernité, là où les lumières nocturnes baignent les pavés ancestraux, l’épopée culinaire du burger « La Dolce Vita » s’inspire d’un chef-d’œuvre cinématographique du légendaire Federico Fellini, transcendant le temps et les frontières culinaires… Imaginons un lieu, similaire à Vallorbe par son intimité et sa familiarité, où chaque bouchée de ce burger est une exploration des contrastes et des harmonies, mais pour s’immerger totalement, il faut remplacer La Fontaine de Trevi par la fontaine 1836 à la rue des Grandes-Forges sur le chemin menant au Musée du fer et du chemin de fer...
Bref, le croustillant du poulet, enrobé dans une panure dorée, évoque la douceur cachée derrière la robustesse de nos montagnes comme la chaîne de la Dent de Vaulion ou celle du Mont d’Or. La crème de Parmesan, onctueuse et enveloppante, rappelle les raclettes partagées, les saveurs qui réunissent et créent des souvenirs. Le jambon de Parme, d’une finesse inégalée, transporte au cœur des traditions, façon festins de la Bénichon mais sur terre vaudoise, là où le savoir-faire se transmet de génération en génération …en génération (et oui, ça fait plus de 60 ans que le film est sortie).
Les légumes grillés, poivrons, aubergines, et courgettes, sont comme les histoires racontées au coin du feu, pleines de chaleur et de couleur, évoquant les récoltes de nos jardins sous le soleil estival. La fraîcheur de la salade sert de toile de fond, rappelant les verts pâturages, un clin d’œil aux escapades dans la nature, aux moments de tranquillité loin du tumulte quotidien des Vallorbiers.
« La Dolce Vita » est ainsi plus qu’un simple repas ; c’est une douceur de vivre et une mosaïque de goûts, un tissage de souvenirs et de sensations, une célébration de la vie dans toute sa diversité. Comme le film qui inspire son nom, ce burger est une réflexion sur les joies, parfois fugaces, de l’existence, une invitation à savourer chaque instant avec délectation (et peu importe où l’on se trouve finalement… à Vallorbe ou à Rome, c’est du pareil au même).
Dans ce récit, chaque élément du burger devient un symbole, un morceau d’histoire personnelle et collective, évoquant non seulement le charme de lieux lointains mais aussi la beauté de nos propres paysages, de nos traditions. C’est une histoire qui résonne autant à Vallorbe qu’ailleurs, un pont entre les cultures, les époques, et les saveurs, un rappel que, peu importe où l’on se trouve, la vie peut être douce, si l’on prend le temps de l’apprécier…